Bloody Diaries
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez|

no one ever said it would be this hard

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Katherine Pierce
Katherine Pierce

Messages : 54
Date d'inscription : 29/04/2013

no one ever said it would be this hard Vide
MessageSujet: no one ever said it would be this hard no one ever said it would be this hard Icon_minitimeSam 4 Mai - 20:45



and your heart is the heart of a life
Après une bonne partie de chasse et un tour en ville pour un peu de shopping, il n'y a rien de mieux que de rentrer à la maison. C'est d'ailleurs ce que je venais de faire, ouvrant tranquillement la porte de mon loft avant de déposer mes achats dans l'entrée. Puis je retirais ma veste et marchais vers le salon. Damon était visiblement sous la douche, du moins j'entendais l'eau couler. Afin de m'en assurer, je m'approchais doucement et collais mon oreille à la porte. Eh oui, il se douchait, seul fort heureusement. Malgré le fait que nous ne soyons que de simples amis qui couchent ensembles, j'étais toujours aussi jalouse et possessive. Et il avait interdiction de ramener d'autres filles dans notre loft. Le sourire aux lèvres, rassurée, je partis dans notre chambre et remarquais les draps défaits. Monsieur sortait donc du lit, quelle marmotte. Je levais les yeux au ciel et partait dans la cuisine, attrapant une poche de sang dans le frigo avant de revenir dans le salon, où je me laissais doucement tomber dans le canapé tout en commençant à boire le sang frais. Qu'est ce que cela me faisait du bien, de sentir le sang couler dans la gorge et remplir mon estomac.

Ce fut une fois ma poche de sang terminée que je remarquais une légère odeur. Musquée. Fronçant les sourcils, je me redressais et regardais autour de moi, essayant de débusquer de nouveau cette odeur. Oui, elle émanait bien de notre chambre. Comme une odeur.. de sexe. Tout en me levant pour aller dans cette pièce, je restais attentive au moindre détail. Je secouais la couette de notre lit, et fronçait automatiquement les sourcils. Bon dieu, cela venait bien de notre lit. Il n'aurait tout de même pas oser.. Je détaillais donc la chambre, et remarquais dans un coin une culotte de dentelle fushia. Et qui ne m'appartenais pas, je ne met pas de sous-vêtement de cette piètre qualité. Ouvrant la bouche sous la surprise, je lâchais la couette et regardais vers la salle de bain, attendant qu'il sorte.
FICHE ET CODES PAR RIVENDELL
Revenir en haut Aller en bas
Damon Salvatore
Damon Salvatore

Messages : 79
Date d'inscription : 19/04/2013

no one ever said it would be this hard Vide
MessageSujet: Re: no one ever said it would be this hard no one ever said it would be this hard Icon_minitimeDim 5 Mai - 14:44




Damon && Katherine

© Jacage (Borderline-case)
Je ne pus retenir le sourire en coin qui apparut sur mon visage en sentant les lèvres douces et bien dessinées de la jeune femme venir se poser contre les miennes. Je devais bien reconnaître que pour une humaine, cette jolie petite brunette au regard d'azur s'y prenait plutôt pas mal. Elle ne devait pas être âgée de plus d'une vingtaine d'années, mais je l'appréciais plutôt bien. A tel point que j'allais lui laisser la vie sauve si elle arrivait à me divertir suffisamment que pour que j'arrive à oublier Katherine l'espace d'un instant, ce qui n'était déjà pas gagné. Sans que je comprenne vraiment pourquoi et que je sache l'expliquer, la brunette avait prit une très grande place dans mon estime en ce moment et je mentirai en disant que j'apprécie vraiment ça. En sachant à quel point j'ai été détruit la fois où je l'ai aimée pendant plus d'un siècle, je préférais autant ne pas réitérer l'expérience, merci bien. Et pourtant, je voyais bien que la relation entre la vieille vampire et moi évoluait d'une façon assez.. ambiguë, si on peut dire ça comme ça.

Enfin, soit. Mieux valait se concentrer sur l'instant présent, n'est-ce-pas ? Ouais, c'est cela, l'instant présent. Et je devais bien avouer que la jeune femme avait plutôt bien réussi son pari, ayant réussi à me faire oublier mon ex-psychopathe pendant une bonne heure. Aussi, comme récompense, je l'avais laissée s'en aller saine et sauve, lui donnant malgré tout un faux numéro de téléphone où m'appeler si elle désirait me revoir. Ne jamais revoir ses conquêtes envahissantes c'est la règle numéro un. Quoi qu'il en soit, je préférais aller prendre une douche plutôt que de rester là à énoncer toutes les règles que j'établissais à mes conquêtes, c'était toujours quelque chose de plus divertissant. J'avais bien entendu la porte s'ouvrir et se refermer aussi sec mais je n'y prêtais pas vraiment attention, me disant simplement que Katherine était rentrée et que ça ne ferait pas grande différence à ma vie, si ce n'est que je ferai mieux de l'éviter si elle était d'une humeur de chacal. Aussi, je pense que j'allais l'éviter autant que possible vu ce que j'avais osé faire dans notre lit au cours de ces dernières heures. Pourtant, en sortant de la douche, je pus rapidement sentir son odeur plutôt familière derrière la porte et je poussais un soupir exaspéré, entourant une simple serviette autour de ma taille avant de finalement aller la rejoindre devant la porte, haussant les sourcils tout en attendant de voir ce qu'elle allait me dire. « - Bonjouur. » lâchais-je avec un air totalement innocent et une voix à la fois charmeuse et provocatrice. Leçon de morale ? Tombera ou tombera pas ?

made by Jacage.
Revenir en haut Aller en bas
Katherine Pierce
Katherine Pierce

Messages : 54
Date d'inscription : 29/04/2013

no one ever said it would be this hard Vide
MessageSujet: Re: no one ever said it would be this hard no one ever said it would be this hard Icon_minitimeMar 7 Mai - 18:13



and your heart is the heart of a life
Les draps défaits, cette odeur de sexe rémanente, la petite culotte rose dans un coin, j'avais l'impression d'étouffer. Bon dieu, je ne comprenais pas pourquoi il avait oser me faire ça. Certes, Damon est fidèle à lui même, mais quitte à avoir une aventure, il aurait pu le faire ailleurs que dans notre lit. A ce que je sache, je n'étais pas allée voir ailleurs depuis que nous avions commencer à se fréquenter. Pourquoi ? Parce que je n'en ressentais pas le besoin. Damon me comblait pleinement. C'était un colocataire exemplaire, et un sublime partenaire nuptial. Jusqu'à aujourd'hui. La, actuellement, je ne ressentais que tu dégoût, de la colère, de la.. Jalousie ? Non, je ne pouvais tout de même pas être jalouse que.. Qu'il ait couché avec une fille que moi ? Et humaine à en sentir l'odeur. Il ne l'avait même pas tuer, ça prouvait bien quelque chose. Visiblement, mon beau Damon n'avait plus besoin de moi, et cette remarque me fit mal au cœur. Tiens donc, cela fait bien longtemps que je n'avais pas eu cette singulière douleur. Quoique, quand Elijah m'avait laissé tomber..

J'entendis l'eau se couper, et le bruissement d'une serviette que l'on enroule. Il allait sortir, et il savait que j'étais là, je le sentais. Avant qu'il ne sorte, je tirais d'un geste rapide la couette du lit et m'approchais de la fenêtre que j'ouvris en grand. Il était derrière moi, j'entendais son souffle, je sentais sa présence. Et son petit salut me fit serrer les dents. Il n'avait vraiment aucun principe, quel connard. Sans me retourner, ni sans répondre à son bonjour, je secouais la couette avant de la laisser tomber par la fenêtre. Il ne l'avait pas volé, je ne voulais plus dormir dans ces draps salis. Alors je me saisit aussi des oreillers, qui subirent le même sort, puis j'attrapais le matelas. J'eus un peu de mal à le faire passer, mais en forçant un peu, il finit par tomber à son tour dans le vide. Là, je me retournais vers Damon, serrant le poing pour ne pas le claquer et rester naturelle. Je réussis rapidement à prendre le dessus sur mes sentiments, et je le fixais, un léger et faux sourire sur les lèvres, la tête penchée. « Bonjour. T'as passé une bonne journée à ce que je vois. » Lançais-je d'un ton sarcastique. Et qu'il n'ose pas me répondre oui, parce que là, j'en fais des chiffons, de Damon Salvatore.
FICHE ET CODES PAR RIVENDELL
Revenir en haut Aller en bas
Damon Salvatore
Damon Salvatore

Messages : 79
Date d'inscription : 19/04/2013

no one ever said it would be this hard Vide
MessageSujet: Re: no one ever said it would be this hard no one ever said it would be this hard Icon_minitimeMar 7 Mai - 20:35




Damon && Katherine

© Jacage (Borderline-case)
Je n'avais même pas eu besoin de sortir de la salle de bain que j'avais senti la présence de ma colocataire féminine. Et, la connaissant quasiment par coeur depuis les siècles, je devais bien reconnaître que je savais déjà qu'elle n'allait pas vraiment être très contente de ce que j'avais osé faire dans notre lit pendant son absence. D'un sens, je pouvais comprendre sa réaction que j'anticipais déjà, sachant que j'aurai sans doute pété un véritable câble si c'était elle qui se le permettait. Mais bon, esprit Damonien oblige, je n'avais bien évidemment pas pu refouler mes pulsions soudaines bien longtemps et je m'étais jetée sur la première humaine venue, quoi que je puisse ressentir pour ma créatrice depuis quelques temps déjà. D'ailleurs, j'en viens actuellement à me demander jusqu'où ce n'est pas à cause des sentiments que j'éprouve à son égard depuis déjà trop de temps à mon goût que j'ai agis comme ça, comme un véritable con.

Soit. J'étais à peine sorti de la salle de bain que je pus directement remarquer l'humeur plus que cannibale de la jeune femme, qui se contenta de serrer les dents tout en se dirigeant vers la fenêtre, ouverte en grand. Et à partir de là, elle commença à basculer tout ce qui était contenu dans le lit, tandis que je la regardais, les mains sur les hanches, à la fois amusé, stupéfait, et agacé par sa réaction. Dirait-on pas la Sainte Nitouche, toujours droite et fidèle dans ses relations ? Néanmoins, je me mordillais la lèvre inférieure pour ne pas pouffer de rire en la voyant se batailler pour faire passer le matelas par la fenêtre, celui-ci semblant être décidé à faire de la résistance. Plutôt marrant de voir une vampire âgée de plus d'un demi millénaire se battre contre un matelas pour arriver à faire subir la misère à celui-ci, vous ne pouvez même pas imaginer à quel point. Je la regardais ensuite se tourner vers moi, tandis que je luttais mentalement pour ne pas éclater de rire, me contentant de hausser les épaules à sa question on ne peut plus sarcastique. « Oh, très bonne, merci, et la tienne ? » lui demandais-je d'un air quasi innocent, laissant indifféremment tomber ma serviette devant elle, allant saisir un caleçon dans mon armoire et l'enfilant tout en me tournant vers elle, après avoir jeté un coup d'oeil à la fenêtre. « - Tu avais envie d'un brin de ménage ? » poursuivis-je avec un sourire à la fois sarcastique et angélique, sachant réellement que j'étais entrain de jouer avec le feu en ce moment même. Et croyez-moi que lorsque Miss Pierce se décide à vous en coller une, ça ne plaisante pas.

made by Jacage.
Revenir en haut Aller en bas
Katherine Pierce
Katherine Pierce

Messages : 54
Date d'inscription : 29/04/2013

no one ever said it would be this hard Vide
MessageSujet: Re: no one ever said it would be this hard no one ever said it would be this hard Icon_minitimeDim 12 Mai - 10:11



and your heart is the heart of a life
L'odeur qui était dans la chambre me pénétrait de plus en plus, et elle partit légèrement quand je retirais toute la literie de notre chambre. Certes, le matelas m'avait donné beaucoup de mal, mais il était enfin partit et je me retournais enfin vers Damon. Ce dernier avait laissé nonchalamment tomber sa chemise, et il enfilait maintenant un caleçon sous mes yeux. Pourtant, pas une seule fois mon regard ne dévia vers son torse ou plus bas, non, je m'étais contentée de le fixer dans les yeux, d'un air de défi, et mauvais. J'en avais vraiment marre de ses humeurs, de lui. Et pourtant, mon cœur me faisait mal, il était tout serré dans ma poitrine et je serrai les dents pour ne pas éclater en sanglots. Non, je restai impassible physiquement, droite et fière, malgré ce qu'il venait de me faire. Oh, et puis sa réponse, j'avais vraiment envie de le claquer contre un mur, là. Mais je décidais de jouer les indifférentes. « Très bonne aussi, merci. » Un sourire en coin sur les lèvres, j'allais rapidement vers le coin de la chambre, saisit la culotte rose entre deux doigts et la lui lançait au visage. Un brin de ménage ? Oh oui, sacrément grand d'ailleurs. « Oui, en effet. Tu devrais ramasser tes affaires, même si tu dois être terriblement mignon dans cette culotte, chéri. » Je savais très bien que jouer avec la masculinité de Damon était dangereux, mais lui aussi il jouait avec le feu, et j'avais vraiment envie de l'étriper.

Je me retenais de lui mettre une bonne claque, mais non, je décidais de jouer autrement. Il l'avait chercher. Alors j'ouvrais notre armoire, que dis-je, mon armoire, et prit toutes les affaires de Damon avant de les envoyer elles aussi par la fenêtre. Une fois celle-ci vidée de toutes les affaires de Monsieur Salvatore, je la refermais et prit toutes ses affaires personnelles pour leur faire subir le même sort, avant de me tourner vers lui, une main sur la hanche. « Je fais du ménage, c'est d'ailleurs pourquoi tu t'en vas aussi. » Les mots que je venais de prononcer m'avaient fait très mal, mais je ne voulais pas me faire mener par Damon. Depuis mon entrée dans la maison, j'avais cette douleur, celle que j'avais réussi à faire disparaître toutes ses années, à partir de la mort de ma famille. Et là, elle était revenue. Je n'avais jamais pensé que Damon aurait pu en être la source, et pourtant si, il en était. C'était de sa faute et rien que de sa faute, si j'avais mal comme ça. Et je voulais faire partir cette douleur au plus vite, même si elle ne partirai pas maintenant. Oui, j'aimais Damon. Je l'aimais depuis longtemps, et cet amour était partit, puis revenu, puis encore partit. Et là, il était revenu, encore plus fort que jamais. Mais Damon me faisait mal, parce que je savais que ce n'était pas réciproque. La preuve, il venait de coucher avec une autre fille, et sans aucun scrupule. Il l'avait même laisser vivre.
FICHE ET CODES PAR RIVENDELL
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


no one ever said it would be this hard Vide
MessageSujet: Re: no one ever said it would be this hard no one ever said it would be this hard Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

no one ever said it would be this hard

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bloody Diaries :: New Orleans :: STORYVILLE :: Logements :: Loft de Katherine & Damon-